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Nous découvrons avec bonheur la vallée de Cocora, qui nous accueille avec ses "palmiers à cire" de 60 mètres de hauteur. - Nous découvrons avec bonheur la vallée de Cocora, qui nous accueille avec ses "palmiers à cire" de 60 mètres de hauteur. - 11_G.jpg
En train à vapeur, le mardi 15, à l'aube. Il faut savoir que la Colombie est traversée du nord au sud par trois cordillières des Andes, uniquement franchissables par route ou en avion. Les trains n'existent donc tout simplement pas. Celui-ci pourtant ef - En train à vapeur, le mardi 15, à l'aube. Il faut savoir que la Colombie est traversée du nord au sud par trois cordillières des Andes, uniquement franchissables par route ou en avion. Les trains n'existent donc tout simplement pas. Celui-ci pourtant effectue une courte distance sur un relief égal, mais ne sert plus, bien sûr, qu'aux touristes. - 12_G.jpg
Ces palmiers sont si particuliers, compte tenu de leur aptitude à pousser parfois jusqu'à 3500 mètres d'altitude, qu'ils sont devenus l'emblème de la Colombie. - Ces palmiers sont si particuliers, compte tenu de leur aptitude à pousser parfois jusqu'à 3500 mètres d'altitude, qu'ils sont devenus l'emblème de la Colombie. - 13_G.jpg
Enfin, nous arrivons au gîte de l'Estrella del agua, à 3170 m. Accueil avec une boisson typique colombienne, blocs de sucre de canne fondus dans de l'eau chaude. Accompagnement : un "bocadillo", genre de pâte de coing dans une feuille de bananie - Enfin, nous arrivons au gîte de l'Estrella del agua, à 3170 m. Accueil avec une boisson typique colombienne, blocs de sucre de canne fondus dans de l'eau chaude. Accompagnement : un "bocadillo", genre de pâte de coing dans une feuille de bananier. - 14_G.jpg
Les cacaoyers. - Les cacaoyers. - 15_G.jpg
Le gîte de La Montaña, où nous avons passé une superbe soirée : accueil chaleureux de la famille qui habite là, repas à la chandelle et observation des étoiles, dont nous ne reconnaîtrons AUCUNE constellation... (Douche TRES froide) La pluie d'étoiles fi - Le gîte de La Montaña, où nous avons passé une superbe soirée : accueil chaleureux de la famille qui habite là, repas à la chandelle et observation des étoiles, dont nous ne reconnaîtrons AUCUNE constellation... (Douche TRES froide) La pluie d'étoiles filantes nous a cependant souhaité bonne nuit. - 16_G.jpg
Le lendemain matin, nous continuons notre ascension vers le gîte suivant, à 3170 mètres d'altitude. Le chemin est assez bon, et nous rencontrons des oiseaux surprenants, très moches, au long cou. Une stèle funéraire d'indigènes borde le sentier. - Le lendemain matin, nous continuons notre ascension vers le gîte suivant, à 3170 mètres d'altitude. Le chemin est assez bon, et nous rencontrons des oiseaux surprenants, très moches, au long cou. Une stèle funéraire d'indigènes borde le sentier. - 17_G.jpg
Le jeudi 24, nous arrivons à " La petite ferme de Mamá Lulú ", le paradis du voyageur fatigué. C'est une ferme écolo qui vit en autarcie. - Le jeudi 24, nous arrivons à " La petite ferme de Mamá Lulú ", le paradis du voyageur fatigué. C'est une ferme écolo qui vit en autarcie. - 18_G.jpg
Cette ferme élève ses propres animaux, cuisine au gaz méthane grâce à la fermentation des excréments animaux et humains, recycle absolument tout. Seule l'électricité est achetée. En effet, il n'y a pas de rivière alentour. - Cette ferme élève ses propres animaux, cuisine au gaz méthane grâce à la fermentation des excréments animaux et humains, recycle absolument tout. Seule l'électricité est achetée. En effet, il n'y a pas de rivière alentour. - 19_G.jpg
Visite du jardin écolo, bien rempli. - Le café - - Visite du jardin écolo, bien rempli. - Le café - - 1_G.jpg
La maison de Marie se trouve dans un patio; elle la partage avec ses colocatrices colombiennes : Ana-María et Jahlila, deux filles venues du nord, des Caraïbes et de Santa-Marta. - La maison de Marie se trouve dans un patio; elle la partage avec ses colocatrices colombiennes : Ana-María et Jahlila, deux filles venues du nord, des Caraïbes et de Santa-Marta. - 20_G.jpg
Nous quittons Bogotá, pour nous rendre, en bus à Armenia, à 200 km à l'ouest, . Sur le chemin, nous avons goûté à la folie de la conduite colombienne, où on double dans les virages, en montée et dans le brouillard... Vu que cette attitude est courante - Nous quittons Bogotá, pour nous rendre, en bus à Armenia, à 200 km à l'ouest, . Sur le chemin, nous avons goûté à la folie de la conduite colombienne, où on double dans les virages, en montée et dans le brouillard... Vu que cette attitude est courante et à prévoir, le plus grand risque pour les touristes est de mourir de crise cardiaque. Nous avons longé des kilomètres de manguiers et où nous avons vu les gamins sur leur plateaux à roulettes, se faire tracter derrière les camions à travers les lacets des montagnes. - 21_G.jpg
Tout est fait en bambou; une partie de la famille s'est spécialisée dans la charpenterie, et fait des merveilles de construction. - Tout est fait en bambou; une partie de la famille s'est spécialisée dans la charpenterie, et fait des merveilles de construction. - 22_G.jpg
Les bananiers, avec un gros régime, et mille autres plantes... - Les bananiers, avec un gros régime, et mille autres plantes... - 24_G.jpg
Dans la cuisine, nous préparons des "arepas", galettes de maïs garnies de compléments divers - Dans la cuisine, nous préparons des "arepas", galettes de maïs garnies de compléments divers - 25_G.jpg
La chambre de Marie, très calme. Chaque matin, nous entendons les gamins de l'école religieuse d'à côté crier en choeur " ¡ BUENOS DÍAS ! ". Pas besoin de réveil-matin ! - La chambre de Marie, très calme. Chaque matin, nous entendons les gamins de l'école religieuse d'à côté crier en choeur " ¡ BUENOS DÍAS ! ". Pas besoin de réveil-matin ! - 26_G.jpg
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Nous goûtons à notre premier "tamale" : dans une feuille de bananier, du riz au cury, du poulet, du maïs et des pois chiches. La bonne odeur se répandait dans tout le train. - Nous goûtons à notre premier "tamale" : dans une feuille de bananier, du riz au cury, du poulet, du maïs et des pois chiches. La bonne odeur se répandait dans tout le train. - 28_G.jpg
Dans la gare se trouve l'atelier de maintenance du train. En voyant cette machine, on suppose que certaines grosses pièces ont parfois besoin d'être changées : il s'agit d'un tour monstrueux, dont on vous présente des copeaux. - Dans la gare se trouve l'atelier de maintenance du train. En voyant cette machine, on suppose que certaines grosses pièces ont parfois besoin d'être changées : il s'agit d'un tour monstrueux, dont on vous présente des copeaux. - 29_G.jpg
En quitant Bogotá en train, à travers les quartiers nord, de petits écoliers nous saluent. Comme expliqué plus haut, les quartiers nord sont très riches, mais redeviennent pauvres aux abords immédiats de la capitale. - En quitant Bogotá en train, à travers les quartiers nord, de petits écoliers nous saluent. Comme expliqué plus haut, les quartiers nord sont très riches, mais redeviennent pauvres aux abords immédiats de la capitale. - 2_G.jpg
De nombreuses maisons abritent un patio souvent très fleuri, sans pour autant que ce soit une marque de richesse. Voici celui d'un humble restaurant, que les sympatiques hôtes nous ont laissé visiter. - De nombreuses maisons abritent un patio souvent très fleuri, sans pour autant que ce soit une marque de richesse. Voici celui d'un humble restaurant, que les sympatiques hôtes nous ont laissé visiter. - 30_G.jpg
Celle-ci est taillée dans une mine de sel aux dimensions galactiques, voire plus... - Celle-ci est taillée dans une mine de sel aux dimensions galactiques, voire plus... - 31_G.jpg
La cathédrale est constituée de très nombreuses salles, aux plafonds très hauts. En fin de visite, une maquette en trois dimensions nous confirme que cette construction est un grain de sel comparée à la taille totale de la mine. - La cathédrale est constituée de très nombreuses salles, aux plafonds très hauts. En fin de visite, une maquette en trois dimensions nous confirme que cette construction est un grain de sel comparée à la taille totale de la mine. - 32_G.jpg
L'après-midi du vendredi 18, nous allons prendre une bonne bouffée d'air au Montserrate, qui domine Bogotá à 3000 mètres. - L'après-midi du vendredi 18, nous allons prendre une bonne bouffée d'air au Montserrate, qui domine Bogotá à 3000 mètres. - 33_G.jpg
Un pectoral avec la figure de Serenkua, dieu mythique Tairona - Un pectoral avec la figure de Serenkua, dieu mythique Tairona - 34_G.jpg
Il y a même des confessionnaux, dans lesquels prêtres et paroissiens communiquent par un "conduit" creusé à même le sel - Il y a même des confessionnaux, dans lesquels prêtres et paroissiens communiquent par un "conduit" creusé à même le sel - 35_G.jpg
Le "radeau Muisca", représentant la légende de El Dorado. La peuplade Muisca est l'un des groupes originels de la Colombie, qui en compte plusieurs dizaines. En bref, la légende de "El Dorado" raconte qu'un grand chef spirituel Muisca - Le "radeau Muisca", représentant la légende de El Dorado. La peuplade Muisca est l'un des groupes originels de la Colombie, qui en compte plusieurs dizaines. En bref, la légende de "El Dorado" raconte qu'un grand chef spirituel Muisca était très amoureux de sa femme. Or celle-ci, après avoir trompé son mari, se noya dans un lac. Infiniment triste, le grand chef se couvrit d'or. Puis il embarqua sur un radeau, accompagné d'autres dignitaires spirituels eux aussi chargés d'or et d'émeraudes, "esmeraldas". Ils jetèrent l'ensemble au milieu du lac, en offrande au dieu des eaux qui retenait la femme prisonnière. Bien plus tard, les conquistadors eurent vent de cette légende et fouillèrent le lac, mais en vain. - 36_G.jpg
Avant de partir pour la Colombie, nous savions que le plus beau musée de l'or du monde se trouvait à Bogotá. Ce fut donc une escale obligatoire. Le Musée de l'Or regroupe les richesses de tous les peuples indigènes colombiens. - Avant de partir pour la Colombie, nous savions que le plus beau musée de l'or du monde se trouvait à Bogotá. Ce fut donc une escale obligatoire. Le Musée de l'Or regroupe les richesses de tous les peuples indigènes colombiens. - 3_G.jpg
Premier repas colombien avec une soupe à la banane plantin et un poulet aux légumes. Marie a pris une "colombiana", espèce de jus de chewin-gum à la fraise, très artificiel, qui ne lui réussit visiblement pas... - Premier repas colombien avec une soupe à la banane plantin et un poulet aux légumes. Marie a pris une "colombiana", espèce de jus de chewin-gum à la fraise, très artificiel, qui ne lui réussit visiblement pas... - 40_G.jpg
L'entrée de la mine - L'entrée de la mine - 41_G.jpg
Voilà la jungle d'où nous sortirons trempés, mais époustouflés. - Voilà la jungle d'où nous sortirons trempés, mais époustouflés. - 42_G.jpg
Cette forêt est très humide, et parcourue par des torrents puissants. - Cette forêt est très humide, et parcourue par des torrents puissants. - 43_G.jpg
Voici les Andes. Le contraste est saisissant : d'un côté, l'une des villes les plus polluées de cette planète, et de l'autre, un décor d'Ushuaia ! - Voici les Andes. Le contraste est saisissant : d'un côté, l'une des villes les plus polluées de cette planète, et de l'autre, un décor d'Ushuaia ! - 44_G.jpg
Nous faisons une balade autour des cascades de Sueva, à 95 kilomètres au nord de Bogotá. Première passerelle, avec un aperçu des fleurs rouges dans les arbres.En fait, ces jolies fleurs sont des parasites. - Nous faisons une balade autour des cascades de Sueva, à 95 kilomètres au nord de Bogotá. Première passerelle, avec un aperçu des fleurs rouges dans les arbres.En fait, ces jolies fleurs sont des parasites. - 45_G.jpg
Hommage aux mineurs. - Hommage aux mineurs. - 46_G.jpg
Certains endroits sont d'un goût légèrement douteux... - Certains endroits sont d'un goût légèrement douteux... - 47_G.jpg
L'une des douze stations du chemin de croix, qui donne sur un gouffre d'exploitation. Nous confirmons la salinité de la croix, que Perrine a goûtée discrètement. - L'une des douze stations du chemin de croix, qui donne sur un gouffre d'exploitation. Nous confirmons la salinité de la croix, que Perrine a goûtée discrètement. - 48_G.jpg
D'autres sont résolument néo-modernes. - D'autres sont résolument néo-modernes. - 49_G.jpg
Enfin le grand départ ! On en a pour 14 heures de voyage en tout... L'Airbus A340 qui nous fait traverser l'Océan Altlantique est très confortable : chaque siège est doté d'un petit écran interactif, commandé par le toucher ou par une manette de jeu. On - Enfin le grand départ ! On en a pour 14 heures de voyage en tout... L'Airbus A340 qui nous fait traverser l'Océan Altlantique est très confortable : chaque siège est doté d'un petit écran interactif, commandé par le toucher ou par une manette de jeu. On peut y visionner plusieurs films, regarder les informations ou jouer. Les plateaux repas sont quasiment mangeables ! - 4_G.jpg
La vie en Colombie est très peu chère pour les touristes comme nous : pour trois nous payons cet "almuerzo", repas, environ trente francs. - La vie en Colombie est très peu chère pour les touristes comme nous : pour trois nous payons cet "almuerzo", repas, environ trente francs. - 50_G.jpg
Bogotá, vaste mais à taille humaine. La population compte environ 7,5 millions d'habitants. Les "frontières naturelles" que représentent les montagnes alentours expliquent la très forte densité. - Bogotá, vaste mais à taille humaine. La population compte environ 7,5 millions d'habitants. Les "frontières naturelles" que représentent les montagnes alentours expliquent la très forte densité. - 51_G.jpg
Dangeureuses et colorées de dizaines de taxis jaunes, les avenues à la circulation dense. Quand on se balade en ville, à pied, il faut savoir qu'il existe une hiérarchie de la survie. Attendu que la seule loi est celle du plus fort, que les panneaux sont - Dangeureuses et colorées de dizaines de taxis jaunes, les avenues à la circulation dense. Quand on se balade en ville, à pied, il faut savoir qu'il existe une hiérarchie de la survie. Attendu que la seule loi est celle du plus fort, que les panneaux sont inexistants et que les rares feux tricolores servent de décoration, on garde à l'esprit cet ordre : bus," buseta", 4x4, voiture, moto, vélo, piéton, chien. - 52_G.jpg
Les Andes bordent la capitale sur la partie Est. On aperçoit l'église de Montserrate, en blanc dans les nuages. - Les Andes bordent la capitale sur la partie Est. On aperçoit l'église de Montserrate, en blanc dans les nuages. - 53_G.jpg
Bogotá s'allonge du nord au sud, bordée à l'est par la montagne. Le quartier fondateur de la ville s'appelle la Candelaria, la Chandelle [ la Chandeleur ?]; c'est le point de départ de la numérotation des rues. En effet, en Colombie, les rues n'ont pas de - Bogotá s'allonge du nord au sud, bordée à l'est par la montagne. Le quartier fondateur de la ville s'appelle la Candelaria, la Chandelle [ la Chandeleur ?]; c'est le point de départ de la numérotation des rues. En effet, en Colombie, les rues n'ont pas de nom mais elles sont numérotées. Les rues perpendiculaires aux montagnes sont appellées les "calles", et leur numérotation augmente en partant vers le nord. Les rues parallèles aux montagnes sont les "carreras", et leurs numéros augmentent en s'éloignant des montagnes. Sachant que les quartiers nord sont les plus riches, et que les quartiers sud sont des bidonvilles, il est très simple de définir des "limites numériques" pour garantir la sécurité des touristes.... - 54_G.jpg
Balade sur la "ciclo vía", la carrera séptima, qui devient voie cyclable tous les dimanches matin. Ici, un moulin à canne à sucre. Nous prenons un verre de jus de canne avec un petit citron vert pressé. C'est très rafraîchissant. - Balade sur la "ciclo vía", la carrera séptima, qui devient voie cyclable tous les dimanches matin. Ici, un moulin à canne à sucre. Nous prenons un verre de jus de canne avec un petit citron vert pressé. C'est très rafraîchissant. - 55_G.jpg
Le long de la "ciclo vía", on vend de la nourriture PARTOUT, et de toute sorte. Ce petit cochon fait moins le malin en voyant passer les cyclistes. - Le long de la "ciclo vía", on vend de la nourriture PARTOUT, et de toute sorte. Ce petit cochon fait moins le malin en voyant passer les cyclistes. - 57_G.jpg
Comme c'est joli la préparation de cette patisserie ! En fait, c'est du gras de boeuf, vraiment bof d'après Marie et Nico. - Comme c'est joli la préparation de cette patisserie ! En fait, c'est du gras de boeuf, vraiment bof d'après Marie et Nico. - 58_G.jpg
L'une des places les plus hautes de la Candelaria. On constate que ce quartier se rapproche des montagnes, et domine donc le reste de la ville. L'Universidad de los Andes (UniAndes) est d'ailleurs perchée à flanc de colline, et ses étudiants ont des moll - L'une des places les plus hautes de la Candelaria. On constate que ce quartier se rapproche des montagnes, et domine donc le reste de la ville. L'Universidad de los Andes (UniAndes) est d'ailleurs perchée à flanc de colline, et ses étudiants ont des mollets de cyclistes. - 59_G.jpg
Les maisons coloniales très colorées, les balcons omniprésents - Les maisons coloniales très colorées, les balcons omniprésents - 5_G.jpg
Au petit matin, nous sommes réveillés par le marché. Sous notre fenêtre d'hôtel, on peut voir les étals de bananes plantin et de yucas. En face, il y avait un poissonnier qui taillait des blocs de glace à même le sol; l'hygiène des marchés colombien - Au petit matin, nous sommes réveillés par le marché. Sous notre fenêtre d'hôtel, on peut voir les étals de bananes plantin et de yucas. En face, il y avait un poissonnier qui taillait des blocs de glace à même le sol; l'hygiène des marchés colombiens est approximative. - 60_G.jpg
La place Bolivar, qui a vu plusieurs révolutions. Le palais a été détruit lors de la dernière, et reconstruit récemment. - La place Bolivar, qui a vu plusieurs révolutions. Le palais a été détruit lors de la dernière, et reconstruit récemment. - 61_G.jpg
C'est le quartier ancien, sans doute le plus joli de Bogota, et relativement sûr. (Les quartiers nord sont plus sûrs, mais dépourvus d'intérêt). La place ci-dessous accueille les étudiants chaque soir, les vendeurs ambulants... et les quelques dealers. - C'est le quartier ancien, sans doute le plus joli de Bogota, et relativement sûr. (Les quartiers nord sont plus sûrs, mais dépourvus d'intérêt). La place ci-dessous accueille les étudiants chaque soir, les vendeurs ambulants... et les quelques dealers. - 62_G.jpg
A l'arrivée à l'aéroport de Bogotá, un petit formulaire administratif. Ne parlant pas espagnol (à ce moment-là), je demande de l'aide à nos voisins qui en profitent pour nous décrire Santa Fé de Bogotá, nous mettant en garde contre les différents problème - A l'arrivée à l'aéroport de Bogotá, un petit formulaire administratif. Ne parlant pas espagnol (à ce moment-là), je demande de l'aide à nos voisins qui en profitent pour nous décrire Santa Fé de Bogotá, nous mettant en garde contre les différents problèmes locaux. Nous étions préparés à rester constamment vigilants, donc pas de surprise. - 6_G.jpg
Une cloche se fait entendre, c'est le livreur de bouteilles de gaz qui s'annonce. - Une cloche se fait entendre, c'est le livreur de bouteilles de gaz qui s'annonce. - 7_G.jpg
Sur les conseils d'Oscar, notre guide, nous goûtons à des baies inconnues en Europe. Ça ressemble à de très grosses myrtilles. Miam, miam ! - Sur les conseils d'Oscar, notre guide, nous goûtons à des baies inconnues en Europe. Ça ressemble à de très grosses myrtilles. Miam, miam ! - 8_G.jpg
La pause casse-croûte devait se faire au pied de cette cascade. A cent mètres de celle-ci, la pluie que génère la chute d'eau nous glace les os, et nous devons rebrousser chemin pour pique-niquer avec des vaches gourmandes, loin d'être farouches. - La pause casse-croûte devait se faire au pied de cette cascade. A cent mètres de celle-ci, la pluie que génère la chute d'eau nous glace les os, et nous devons rebrousser chemin pour pique-niquer avec des vaches gourmandes, loin d'être farouches. - 9_G.jpg
Nous trouvons au sol l'une des jolies plantes parasites rencontrées dans une rando précédente. Ces parasites abritent un véritable microcosme d'araignées et d'insectes divers. - Nous trouvons au sol l'une des jolies plantes parasites rencontrées dans une rando précédente. Ces parasites abritent un véritable microcosme d'araignées et d'insectes divers. - A bord de Coyot John devant le Sinus
- A la table de JMC
- Ad la de Patrick
- Alain et Annie Lederer
- Ambiance
- Amboise
- Bernard Guilain et le MCR
- Bernard entre Christian et Guilain
- Bernard et Franck
- Besoin de lunettes
- Bon on va manger
- Bye-bye le planeur
- COYOTE BELGE
- C est chaud
- C est o la rivi re
- Ca m enerffffe
- Campement sous le Sinus
- Candido et Christine Mouzo
- Censure1
- Censure2
- Censure3
- Censure5
- Certains ont l air dissip s
- Ch teau de Chaumont et son parc
- Chambord vis entre les haubans
- Christian entre Fran ois et Patrick
- Cochons grill s
- Coyot John pr t pour la nuit
- Crache ou avale le feu
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- Daniel Corre et Fran oise Cotton
- Didier Fort dans son Minimax
- Dominique Mereuze
- Dominique l aise avec le micro
- En plein boulot
- En terrasse
- Encore plus chaud
- Encore un avion
- Enfin arriv
- Erick et Annie
- Et le r gime Zo
- Evelyne avec son chapeau
- Evelyne et Ad la de
- Evelyne rep re les Kados
- Faut pas oublier la casquette
- Fran ois Dehors au t l phone avec Xavier peut- tre
- Fran ois TISON et son pendulaire
- Franck Berton
- G raud et Philippe
- Helmut au banjo
- Helmut au billard
- Helmut entre Bernard et Franck
- Helmut profite du calme
- Helmut sto que
- Henri et G rard
- Henri et Marc
- Il en manque un
- JMC Ad la de et Evelyne
- JMC la queue du V ga
- JMC en gros plan
- Jean Philippe Alquier
- Jean Pierre Gren fatigu
- Kados
- Kesako le kado
- Kesakou12
- Kesakou7
- L'Echalier
- Le Bar
- Le Cordouan de Philippe
- Le Sinus de Mich le et Christophe
- Le Skyranger d Effix
- Le bar toujours
- Le campement s organise
- Le feu qui nous rechauffe
- Le magicien enerfffffant
- Le musicien au fau de camps
- Le navion du pilotaillon breton
- Le public enthousiaste
- Le sauveur du planeur en finale 36
- Les Barthel et Franck
- Les Daval
- Les cuistots
- Les fr res De Vroom
- Les invit s d honneur du Forum
- Les uns et les autres au bar
- MACHINE HYBRIDE Kit-Fox Avid Flyer
- Margarete et les autres
- Mich le Christophe et Daniel et Fran oise
- Mich le et Christophe
- Michel entre Laurent et fran ois
- Mickael G raud et
- Mickael et son cadeau
- Minimax
- Minimax qui fait sensation
- Monique Gren en pleine forme
- Monique J pierre G rard et Didier
- Monique et Stephane Kambourian
- Montr sor au loin
- Musicien
- Nico devant la carte r ve de longues navs
- Nico et Patrick
- Nico et Patrick pr pare la nav
- Nico jongleur de feu
- Nicolas double flamme
- Notre magicien
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Alors c'était au pont de Ponsonnat au sud de Grenoble. Il fait 103m, mais on ne tombe que de 80m. Ce qui est étonnant, c'est que la chute est très rapide (on dépasse les 100km/h !!!) mais on a le temps de tout analyser en détail à chaque instant de l'acte. - PDRM0682.JPG
Donc dans l'ordre : - Quand j'arrive sur le pont, je n'ai pas du tout peur, car je n'y ai pas du tout pensé avant. Je regarde par-dessus bord, et ça ne fait pas non plus peur, car j'ai l'habitude d'être très haut (escalade). On m'harnache, baudrier, jambières. - Les précédents sautent, ils sont 4 devant moi. Je les vois monter sur la rambarde et sauter, mais je ne les regarde pas sauter, pour me garder la surprise. - PDRM0684.JPG
- C'est mon tour : le gars semble un gros frimeur, mais il est fin psychologue, et sait juger et réconforter les hésitants. Je n'hésite pas, on se parle peu. Il m'explique qu'il faut pousser à donf sur les jambes. Ok. - PDRM0685.JPG
- Je monte sur le parapet, une main sur les cheveux du mec. Toujours pas peur. - PDRM0686.JPG
- Tout s'enchaîne. Le flot de paroles du mec et son décompte 3,2,1,go ne me laisse même pas le temps d'y réfléchir. - Je pousse à fond - Et là, petite pause. - PDRM0687.JPG
- J'ai encore le bout de mes chaussures sur le pont, et un gros paquet d'énergie musculaire me propulse en avant. Pas de retour possible. - Je regarde en bas, c'est très loin. - Je ne comprends pas pourquoi j'ai fait ça. Ce geste défie toute logique. Mon instinct de survie se rebiffe, et me tord les boyaux. Mon esprit de fonceur s'efface, et s'excuse de m'avoir entraîné ici, se cachant honteusement dans un coin de mon cerveau. Je suis presque en colère de ne pas m'être rendu compte de ce geste. Je me fais surprendre par un éclair de peur, masqué immédiatement par la surprise de se retrouver dans cette position. - Et puis la raison reprend le dessus, et déclare à tous les autres sentiments de retourner à leurs affaires, car de toute façon le geste est irréversible, et la seule chose à faire est d'attendre de voir ce qui va se passer. - Cela se passe maintenant : - D'abord, tout est très calme, pendant une dizaine de mètres, au cours desquels on accélère très peu, et on a l'impression de voler, sans contrainte, sans tension de l'élastique. C'est un moment délicieux. - PDRM0688.JPG
- Et en une fraction d'instant, la colère de la gravité se déchaîne, et fais accélérer le corps vers le bas à une vitesse surprenante : l'air rapide hurle dans les cheveux qui sifflent, les yeux se plissent, les bras écartés bravent le vent relatif, le fond du ravin fonce à toute allure vers ma tête ! Je ne crie pas, afin de pouvoir écouter le vent. - Cette course folle vers l'irraisonnable est soudainement freinée par une solide tension de l'élastique. Mes bras retombent vers le bas, le sang me monte puissamment à la tête, et je lâche un petit 'arghh' sous le coup de la pression. - Le premier rebond est un instant très flou. On sait que l'élastique a tenu, et selon toutes les probabilités techniques, il tiendra. On se relâche donc, et on lâche prise sur la réalité et l'analyse. - Euphorique, on se retrouve éjecté au sommet du premier rebond, profitant d'un bref instant de gravité zéro, un peu perdu dans cet élément qu'on n'apprivoisera jamais. - Puis on retombe assez doucement, et on recommence, le reste étant moins intéressant. - On se fait enfin mouliner au sol, où un gars nous détache, et nous congratule. - Il fait beau, je n'ai eu ni mal au dos, aux jambes au cœur, nulle part. - Je n'ai pas eu peur, par manque de temps. - Je remonte la pente, je regarde les suivants, me disant qu'il s'agit tout de même d'un acte très inhumain, très illogique. J'admire au passage la puissance d'abstraction de l'être humain, dont la confiance en la technologie permet de combattre l'instinct de survie, et de sauter dans le vide. - PDRM0690.JPG
- On repart, en silence. On n'a rien a dire. On a sauté, on n'a pas eu peur, c'était bien. - PDRM0691.JPG
Et la nuit suivante, je n'ai pas dormi. Ressassant sans cesse (allitération !) le pire moment de ce saut, lorsque les pieds sont encore en contact avec le pont, mais que le vide aspire déjà le corps. Cet instant est terrible, effrayant, et je comprends pourquoi les organisateurs débitent des flots de paroles quasi-hypnotisant. Merci les gars, c'est ce qu'il me fallait. - PDRM0692.JPG
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- Depuis, j'ai moins peur, et je pense que je prendrai du plaisir AUSSI à ce moment là. - PDRM0696.JPG
- J'y retourne dès que possible, avec qui veut. - Pagode de Chanteloup3
- Parking 3 axes
- Pas de parking planeur pr vu
- Patrick
- Patrick entre Johnny et Fran ois
- Patrick et Xavier le vach du W E
- Patrick et Zinedine
- Pendulaire
- Perrine et Nicolas
- Perrine et les autres
- Perrine et son pilote
- Petit ch teau hors programme avant Chenonceau
- Petit dej
- Petit dej samedi chez Yen
- Photo de groupe2
- Picnic Onzain
- Picnic il en manque1
- Planeur au d part
- Planeur de pr s
- Qui veut essayer
- RANS S7
- Repas vendredi soir
- Robert Barthel
- Rodolphe et Fanny
- Sinus
- T as vu mon phare
- Toujours a table
- Tour de Loches entre les haubans
- Tour de Loches sous les haubans
- Trop nombreux pour tre nomm s
- Un ALLEGRO s est joint nous
- Un forum tr s serieux
- Un parking bien rempli
- Un tour de magie avec Robert le magicien
- Une boite de bonbons
- Une boule de feu crach e par Patrick
- Une des tabl es du samedi
- Une h lice qui a tourn tout le W E
- Une m daille pour Xavier
- Une nav qui sera bien pr par
- Une partie des pendulaires
- Une tabl e d hommes
- VOLARE PAS CASSE PUIS UN TETRAS
- Verticale Beauregard
- Verticale Chambord3
- Verticale Chenonceau2
- Verticale Cheverny1
- Verticale Montpoupon
- Verticale Valencay2
- Vue a rienne de l Echalier depuis le Sinus
- Vue d ensemble
- Vue d ensemble depuis la piste
- Xavier Courbion souriant malgr sa vache
- Xavier Werquin et Effix
- Y en a du monde
- Yves Berrier
- Yves les doigts dans le nez
- ZENAIR 701
- Zinedine pour la minute commerciale
- Zoé
- Zo entre Fran ois et Jean-Jacques
- Zo et Jean-Jacques
- apprentissage l eau
- Les passages en via sont souvent agrémentés de gentilles surprises, cassant la monotonie des anneaux métalliques.
On trouve des petits ponts de bois (même sans rivière), des ponts de singes, des ponts suspendus, des échelles. Antoine et moi frimont ardament, c'est logique car nous sommes des cakos. Personne n'est parfait. - Via ferrata des "prises de la Bastille", à Grenoble
(on ne perd pas de temps, on se reposera quand on mourutera !) La même équipe que celle du matin, accompagnée d'amis d'Antoine, découvrent la dure réalité de la via ferrata : Cette voie est en effet côtée plus sévèrement que celle de Planfoy, et en effet, nous en sortirons très fiers et très fatigués. Cette via ferrata est TRES urbaine. On démarre dans un petit parc, quasiment au pied des caisses enregistreuses du supermarché qui se trouve au pied. - A la fin de cette voie, nous exposons nos gros biceps
afin de prouver au monde entier que cette petite balade n'est pour nous qu'une rigolote petite formalité. Ah ces jeunes ! - La via ferrata est (je crois) un moyen qu'ont inventé les militaires italiens du début du siécle dernier
pour franchir les passages délicats des Dolomites. Il s'agit de garnir la belle roche d'inombrables et horribles morceaux de fers. D'un point de vue d'un grimpeur puriste, c'est une hérésie. Du point de vue d'un touriste, c'est un grand réconfort. Je dois sans doute vieillir un peu ;o) - Info de dernière minute
A l'heure où je tape ces lignes, nous sommes le samedi 20 octobre 2001, et une fois de plus, avec Antoine B., nous avons accompli un exploit (finalement, notre quotidien est très morne, allant d'exploits en sauvetage de planètes...). Nous avons en effet vaincu la via ferrata la plus dure de France, celle de Crolles, non loin de Grenoble. - Mais jusqu'où s'arrêteront-ils ?
- L'équipement est très proche de celui requis en escalade.
Nous vous présentons un baudrier Vuiton, orné d'une longe Lacoste du plus bel effet. Les casques Hermès sont une création originale, sertis d'émeraudes en plastique. - Cette via ferrata est consituée de deux parties.
La première est facile et ludique, quoique gazeuze (me consulter pour la traduction). La deuxième est plus athlétique, mais propose une variante facile pour les âmes sensibles (on a abandonné le terme d'échapatoire afin de ménager l'estime des âmes sensibles ;o) Lorsque nous démarrons la deuxième partie, peu après avoir dépassé l'embranchement de la variante, nous entendons des cris de personnes qui déclarent retenir un rocher de 47 tonnes avec leurs jambes, et souhaiteraient que nous appelions les secours, afin d'éviter de lacher ce rocher sur les Grenoblois. - Devant une telle grandeur d'âme, nous acceptons, et quelques dizièmes de secondes plus tard, voilà Superman...
heu, voilà les secours qui arrivent, et treuillent un gentil monsieur costaud, qui sauvera la planète dans de futurs épisodes. - jonglage de feu
- les machines du vendredi
- Voilà ce qui se passe quand on veut frimer !
- Toutefois, elle n'en mêne pas large lorsqu'il s'agit de franchir ce pont suspendu, à plus de 891 mètres du sol !
- Tranquillement, discrètement mais efficacement, Perrine frime sans trop faire parler d'elle, et progresse à son rythme.
- En continuant de progresser vers le haut et vers la gauche, nous nous retournons et voyons ce pont vertigineux, à plus de 8746 m
- qui croyait que le picnic tait Amboise